Encore des archives, des vieux dessins, de l'archeologie. Le premier a deux ans ( celui avec Jean Luc Delarue, car ça correspond à l'époque où le grand public avait appris son trafic de coco et où il avait violenté une hotesse de l'air ).

Et l'autre a quatre ans ( quand même... j'avais 12 ans ).

Voilà, ils n'ont rien d'hors du commun, mais, comme d'hab, je les trouve sympa, c'est des souvenirs quoi...

     VOILA. Dans le post number trois, j'avais exposé mon projet de faire un reccueil d'illustrations intitulé "Itinéraire d'un enfant perdu". Mon projet se concrétise, et la domination du monde sera imminente.

     J'ai commencé hier soir à remplir un carnet Moleskine. Je mettrai à jour ce Post régulierement, et partagerai la plupart des pages du carnet, toutes même. Ouais, 500 pages, soyons fous. Youpi.

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     Je veux pas faire de politique, j'ai pas envie de rentrer dans un débat sanglant, mais j'ai juste envie de réagir aux déclarations de notre cher ministre de l'Education, monsieur Peillon, qui, censé représenter la jeunesse, devrait s'abstenir de donner son avis sur la légalisation du cannabis. Je sais très bien qu'il n'a pas dressé l'éloge de cette merde de drogue ( la légalisation pose des questionnements quant aux trafics souterrains ) mais quand on représente la jeunesse, et que nos propos sont entendus des oreilles de ces derniers, on la ferme. On parle pas de tisane, ni même de tabac, mais de DROGUE, qui même à court terme peut provoquer des désastres, irréversibles pour beaucoup, au niveau psychique et neurologique. Pour avoir fait l'éloge, il n'y a pas si longtemps, de cette plante, et pour changer littéralement de discours maintenant, avec cet article, je sais de quel ordre sont ces conséquences.

      Qu'on donne son point de vue sur la légalisation du cannabis, je m'en fou, mais quand on représente 20 millions de jeunes, on la boucle monsieur le "ministre". Allez regarder dans les yeux les victimes de vos propos d'ici 10 ans, et on en reparlera, car vous donnez le feu vert aux plus faibles.

      Décidement, ce gouvernement est vraiment clownesque, presque pire que le précédent. NONONON je ne parlerai plus politique, promis.

Je vais faire le nostalgique : je vais partager ici 3 "vieux" ( pour moi, 1 ou 2 ans l'est oui, en effet, de manière effective ) gags, dont deux de 2 planches.

Dans l'ordre chronologique :

Feurst wane :

     Celui-là date de 2010, je l'avais TOTALEMENT oublié. Il est pas génial, mais il me fait bien délirer quand même. J'me fous de la gueule des maris soumis, car, maintenant je m'en rappelle ( enfin je crois ), j'avais assisté dans une grande surface à une scène de ménage entre un mari penaud et son ogre de femelle.

     J'étais à fond dans la période Franqui à cette époque apparemment, vu que j'ai fait "genre comme lui", en jouant avec ma signature. BREF.

Seugonde wane :

     Festival de bédé de Solliès-Ville 2011. Comment que j'étais fier. J'avais fait une première version qui m'avait pris 2 jours entiers. Et té que je suais sur mes planches le matin, pendant le stage, et té que je continuais une fois rentré chez moi, toute l'aprem, en écoutant du James Brown ( le même CD en boucle ouiouioui ). J'étais une bête de boulot.

     J'arrive tout fier le 3e jour, je montre tout ceci à Margerin ( qui était l'invité du stage cette année ), qui me dit que c'est "pas mal", "MAIS"... Je hais ce mot. Du coup, j'ai dû tout recommencer. J'ai découpé certaines cases que j'ai gardées, et j'ai redessiné le reste. Ca m'a pris encore 2 jours, avec le CD de James qui tournait encore en boucle.

    Avec du recul, déjà que le déroulement de l'histoire est confus avec la version finale, qu'est-ce que ca devait être avec la première version...

    Notons la grande influence de Mr Edika sur la manière de dessiner mes persos. Voilà, c'est tout ce que j'avais à dire. BREF.

Sseurde wane :

     Zis wane, je l'ai réalisée à Noël dernier, et je l'ai offert à mon papa et à ma maman, et même que ça leur a fait plaisir et tout nananère. Mais avec du recul ( oui, j'aime bien cette expression ), j'me dis que l'histoire est mal construite. En gros, on comprend pas grand chose ( à celà s'ajoutant le scan d'une qualité remarquable ). Mais je vais la refaire en mieux et leur offrir au Noël de cette année #GrosBeaufSansInspiration.

     Sinon, pour les aventurier du samedi soir qui auraient tenté d'essayer de lire, et qui non pas compris le mot "queufna" : ça veut dire "la fnac" en verlan, le langage des djeuns des années 90 wesh zyva ça roule ma poule. Fastoche. BREF.

Place aux auto-portraits. Je vais vous présenter quelques productions que j'ai réalisées, avec différents styles/supports/techniques, et à différentes époques. Pour l'instant je n'ai trouvé que ceux-ci, mais je mettrais ce post régulièrement à jour, dès que je trouve un nouveau griffonage quoi.

( Cliquez sur les photos pour les agrandir )

     Voilà, aujourd'hui je vais partager mon dernier strip, réalisé le week-end dernier. L'idée du beauf misogyne de base m'est venu après avoir regardé pendant une journée entière TF1. Non c'est pas vrai, je regarde pas la télé.

BREF. On s'en fout.

     Donc voilà ainsi enfin pour conclure dans un dernier temps ce gag inédit (ouaaaaah), ce n'est pas, et de loin, mon meilleur, CERTES, mais c'est histoire de montrer que je suis pas un fumiste et que je dessine regulièrement. Voilà. C'est tout.

     A noter le fait que j'ai écrit le texte à l'ordi, parce que j'écris comme un porc et que si je partage une bédé avec une écriture pourrite, personne ne réussira à me lire, tout le monde sera enervé, et personne ne reviendra sur mon blog. Humpffff.

Allez va, je l'avoue, et venant de moi c'est grandiose : vous nous êtes indispensables les femmes. Mais muettes en plus ca serait parfait.

    J'ai pas trop fouillé dans ma "réserve à dessins" cette semaine, j'ai eu la flemme à vrai dire, mais je voulais à tout prix faire un post aujourd'hui. Donc j'ai ressorti ce vieux gribouilli, datant d'une demi-année environ ( je l'avais dessiné pendant le débat Sarko-Hollande je crois #AnnecdoteInutile ). A cette époque j'étais dans un trip samouraï : j'écoutais en boucle le Wu-Tang, et j'm'etais pris de passion pour les Arts Matiaux, d'où ma représentation en "Samuraï of peace". J'avais repris le graff aussi à cette période.

     Bref, rien de bien palpitant, mais c'est histoire de s'echauffer la foufoune ( un gentleman sait rester poli ) avant de pondre un truc INTERESSANT.

OUI. Encore un post aujourd'hui. Mais bon j'débute hein, faut bien le remplir le blog.

      Je vais partager 2 petits dessins que j'ai griffonés au lycée. D'une autre tonalité que les autres. Eux sont plutôt pessimistes. Car oui, même si j'ai tendance à faire des dessins humouristiques, je suis quelqu'un plutôt pessimiste, spleeneux. Mais on s'en fout complet parceque c'est pas le sujet. Enfin si en fait puisque c'est ce mal-être qui m'a inspiré ces dessins, où on peut voir un petit enfant dans un monde hostile. Le mioche est d'un trait simple, léger, en couleurs vives, et l'environnement autour est violent, agressif, tenêbreux. J'ai réflechi sur le contraste crée.

     En fait, c'est la manière dont je vois le monde. C'est comme de la peur, de l'angoisse... avec un arrière goût de naïveté.

     Je comptais faire un reccueil ( je compte, le projet est toujours d'actualité ) regroupant d'autres dessins présentant ce contraste. J'avais trouvé un titre qui collait bien et tout, j'étais content et tout, mais je viens de voir sur internet que d'autres bougres y ont déjà pensé  ---> Itinéraire d'un enfant perdu.

... Monde injuste.

     Alors voilà. Etant un grand fan de Tintin depuis petit ( même si pour certains la bande dessinée ( Tintin surtout ) est considérée comme étant "enfantine" ( à quoi je répond un "Ta Gueule" franc )), je n'ai pas pu m'empêcher de parodier la naïveté de ce Candide du 20e siècle et de mettre en exergue le décalage entre l'époque où les aventures de ce blondinet sont parues et nos jours actuels. Parceque le pauvre, il en aurait du taffe à faire notre héro belge aujourd'hui. J'imagine bien tiens : Tintin en Israël, Tintin à Fukushima, Tintin et le Printemps arabe, Tintin au pays des chômeurs... Comment traumatiser une génération de jeunes lecteurs. Si même la BD te rappelle que tu vis dans un monde de merde... ou va t-on ?

BREF, on s'éloigne du sujet.

     J'ai repris deux de ses albums : Tintin en Amérique, et Tintin et les Picaros. A l'époque j'avais commencé à m'attaquer à Le Lotus Bleu aussi, mais j'avais la flemme de dessiner des chinois partout ( #véridique --> je comptais faire une parodie de Où est Charlie, en remplaçant Charlie par Tchang. Oui, hein, chacun son humour hein. )

     J'vais pas m'amuser à faire l'anthologie chronologique de ma collection de gribouillis et dessins. C'est un travail de gonzesses ça. Je vais juste poster une ptite production avec un texte qui l'acompagne, de temps en temps, quand, après avoir fouillé dans mes archives, j'en sort quelque chose d'intêressant.

     C'est le cas pour cette petite illustration, ce petit gag, où la consigne ( imposée par un Festival de bédé, et destinée à des dessinateurs célébres, donc pas à moi, mais tant qu'à faire, autant m'entraîner, et faire "genre" ) était "Dessine-moi une vache", allusion au Petit Prince. Je me suis incarné en un Saint Exupéry moderne, le temps d'un dessin.

( le festival en question : ICI )